Depuis le 1er juin 2023, l’ECHA (Agence européenne des produits chimiques) a commencé des contrôles de complétude pour les dossiers d’enregistrement REACH (Enregistrement, évaluation et autorisation des produits chimiques). Effectivement, le règlement REACH sur l’enregistrement des produits chimiques nécessite de nouvelles exigences d’information.
Les contrôles s’appliquent sur tout type de dossiers, que ce soit de nouveaux enregistrements ou des mises à jour de dossier existant, l’ECHA contrôlera la conformité des dossiers avec les nouvelles exigences.
En 2021 et 2022 de nombreux changements ont été apportés dans le cadre de REACH, dont les exigences en matière d’information pour l’enregistrement des substances chimiques au titre de REACH. La décision a été prise par la Commission européenne (CE) et les contrôles se font par l’ECHA.
Les modifications concernent :
L’ECHA a mis à disposition un assistant de validation IUCLID (International Uniform ChemicaL Information Database) pour les déclarants, afin de leur donner la possibilité de vérifier leurs enregistrements avant de les soumettre.
L’objectif de l’ECHA est de contrôler toutes les substances enregistrées à plus d’1t/an d’ici 2027, pour empêcher toutes possibilités de non conformités des substances chimiques et assurer la sécurité et la gestion des substances chimiques au sein de l’Union européenne.
La liste candidate des substances extrêmement préoccupantes (SVHC) a été mise à jour le 14 juin 2023 avec l’ajout de 2 nouvelles substances et compte désormais 235 entrées.
L’ECHA a lancé une page web pour fournir des informations sur son processus de révocation des numéros d’enregistrement REACH. L’agence peut révoquer un enregistrement dans deux situations :
Si l’ECHA décide de révoquer un enregistrement pour une entreprise, alors cette dernière peut perdre de manière temporaire ou permanente son numéro d’enregistrement REACH. Ainsi, l’entreprise perd son autorisation à fabriquer ou importer sa substance dans l’EEE.
La Commission européenne a ajouté 24 nouvelles substances CMR (Cancérogènes, Mutagènes ou Reprotoxiques) de catégorie 1A ou 1B à la liste des restrictions REACH- Annexe XVII. Parmi ces substances, sont présentes le bromure d’ammonium, la théophylline, l’acide 2-éthylhexanoïque et ses sels et enfin le 2,4,6-tri-tert-butylphénol.
L’inclusion de ces substances à la liste des restrictions REACH entraîne une interdiction de la mise sur le marché et l’utilisation de ces derniers à partir du 1er décembre 2023.
L’ECHA a publié son 5ème rapport sur les méthodes d’essai non animales in vitro, dans le cadre du règlement REACH. L’ECHA explique dans ce rapport que l'utilisation des tests non animaux pour les méthodes d'essai alternatives n'a connu que peu de changements globalement dans l'Union européenne. Cependant, l’agence a constaté que l’utilisation d’études in vitro est de plus en plus utilisée pour évaluer la sécurité des substances chimiques.
Le concept de méthode d’essai qui n’implique pas d’animaux a connu un essor important ces dernières années. L’objectif est d’éviter les tests inutiles sur les animaux, en optant pour des méthodes alternatives telles que des tissus, des organes ou cellules isolés.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter nos experts !
Depuis le 1er juin 2023, l’ECHA (Agence européenne des produits chimiques) a commencé des contrôles de complétude pour les dossiers d’enregistrement REACH (Enregistrement, évaluation et autorisation des produits chimiques). Effectivement, le règlement REACH sur l’enregistrement des produits chimiques nécessite de nouvelles exigences d’information.
Les contrôles s’appliquent sur tout type de dossiers, que ce soit de nouveaux enregistrements ou des mises à jour de dossier existant, l’ECHA contrôlera la conformité des dossiers avec les nouvelles exigences.
En 2021 et 2022 de nombreux changements ont été apportés dans le cadre de REACH, dont les exigences en matière d’information pour l’enregistrement des substances chimiques au titre de REACH. La décision a été prise par la Commission européenne (CE) et les contrôles se font par l’ECHA.
Les modifications concernent :
L’ECHA a mis à disposition un assistant de validation IUCLID (International Uniform ChemicaL Information Database) pour les déclarants, afin de leur donner la possibilité de vérifier leurs enregistrements avant de les soumettre.
L’objectif de l’ECHA est de contrôler toutes les substances enregistrées à plus d’1t/an d’ici 2027, pour empêcher toutes possibilités de non conformités des substances chimiques et assurer la sécurité et la gestion des substances chimiques au sein de l’Union européenne.
La liste candidate des substances extrêmement préoccupantes (SVHC) a été mise à jour le 14 juin 2023 avec l’ajout de 2 nouvelles substances et compte désormais 235 entrées.
L’ECHA a lancé une page web pour fournir des informations sur son processus de révocation des numéros d’enregistrement REACH. L’agence peut révoquer un enregistrement dans deux situations :
Si l’ECHA décide de révoquer un enregistrement pour une entreprise, alors cette dernière peut perdre de manière temporaire ou permanente son numéro d’enregistrement REACH. Ainsi, l’entreprise perd son autorisation à fabriquer ou importer sa substance dans l’EEE.
La Commission européenne a ajouté 24 nouvelles substances CMR (Cancérogènes, Mutagènes ou Reprotoxiques) de catégorie 1A ou 1B à la liste des restrictions REACH- Annexe XVII. Parmi ces substances, sont présentes le bromure d’ammonium, la théophylline, l’acide 2-éthylhexanoïque et ses sels et enfin le 2,4,6-tri-tert-butylphénol.
L’inclusion de ces substances à la liste des restrictions REACH entraîne une interdiction de la mise sur le marché et l’utilisation de ces derniers à partir du 1er décembre 2023.
L’ECHA a publié son 5ème rapport sur les méthodes d’essai non animales in vitro, dans le cadre du règlement REACH. L’ECHA explique dans ce rapport que l'utilisation des tests non animaux pour les méthodes d'essai alternatives n'a connu que peu de changements globalement dans l'Union européenne. Cependant, l’agence a constaté que l’utilisation d’études in vitro est de plus en plus utilisée pour évaluer la sécurité des substances chimiques.
Le concept de méthode d’essai qui n’implique pas d’animaux a connu un essor important ces dernières années. L’objectif est d’éviter les tests inutiles sur les animaux, en optant pour des méthodes alternatives telles que des tissus, des organes ou cellules isolés.
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