Risques chimiques et chaîne alimentaire

3/12/2014

Afin d'évaluer l'efficacité de cette méthodologie et de dégager des pistes d'amélioration , l'EFSA compte faire réaliser une étude pilote sur deux ans à partir d'une liste donnée de substances.

La procédure utilisera des données issues de sources récentes pour déterminer et prioriser les substances considérées comme les plus nocives. Les données sélectionnées sont extraites de recherches sur les substances chimiques industrielles fabriquées en Union européenne et l'occurrence environnementale des contaminants ainsi que de modélisations prédisant l'évolution de l'activité environnementale, biologique et toxique d'une substance selon sa structure moléculaire et ses propriété chimiques.

Base de l'étude, la liste des contaminants chimiques inclut ceux déjà enregistrés sous REACH et ceux détectés de façon constante dans l'environnement (réseau Norman), appelés "points d'entrée" par l'EFSA. Puis une sélection est faite, sur des critères d'exclusion et d'inclusion qui eux-mêmes reposent sur de multiples éléments, tels que les volumes de production ou la persistance dans l'environnement.

En premier lieu, l'étude se concentrera sur l'identification dans les chaînes alimentaires de vingts substances connues ; si les résultats sont concluants, les phases suivantes verront ce chiffre augmenter pour atteindre une centaine. L'application première des résultats sera de confirmer des hypothèses issues d'informations émanant des autorités, États membres, autres agences communautaires et de la Commission.

Bien qu'ayant déclaré que cela nécessiterait la tenue de tests additionnels, L'EFSA envisage également, comme objectif secondaire de long terme, l'identification de risques émergents jusqu'ici inconnus.

Afin d'évaluer l'efficacité de cette méthodologie et de dégager des pistes d'amélioration , l'EFSA compte faire réaliser une étude pilote sur deux ans à partir d'une liste donnée de substances.

La procédure utilisera des données issues de sources récentes pour déterminer et prioriser les substances considérées comme les plus nocives. Les données sélectionnées sont extraites de recherches sur les substances chimiques industrielles fabriquées en Union européenne et l'occurrence environnementale des contaminants ainsi que de modélisations prédisant l'évolution de l'activité environnementale, biologique et toxique d'une substance selon sa structure moléculaire et ses propriété chimiques.

Base de l'étude, la liste des contaminants chimiques inclut ceux déjà enregistrés sous REACH et ceux détectés de façon constante dans l'environnement (réseau Norman), appelés "points d'entrée" par l'EFSA. Puis une sélection est faite, sur des critères d'exclusion et d'inclusion qui eux-mêmes reposent sur de multiples éléments, tels que les volumes de production ou la persistance dans l'environnement.

En premier lieu, l'étude se concentrera sur l'identification dans les chaînes alimentaires de vingts substances connues ; si les résultats sont concluants, les phases suivantes verront ce chiffre augmenter pour atteindre une centaine. L'application première des résultats sera de confirmer des hypothèses issues d'informations émanant des autorités, États membres, autres agences communautaires et de la Commission.

Bien qu'ayant déclaré que cela nécessiterait la tenue de tests additionnels, L'EFSA envisage également, comme objectif secondaire de long terme, l'identification de risques émergents jusqu'ici inconnus.