L’ONG internationale Friends of the Earth demande l’interdiction du dioxyde de titane anatase dans les crèmes solaires et les produits cosmétiques.
La recherche a montré que cette substance potentiellement dangereuse réagit à la lumière du soleil et à l’eau en intensifiant la formation de radicaux libres et par conséquent en accélérant les effets néfastes du soleil, particulièrement lorsqu’elle est utilisée à l’échelle nanométrique.
Une étude a ainsi été menée en 2008, après des rapports selon lesquels des enduits de toit se décomposaient après un transfert de crème solaire par les ouvriers travaillant sur ces toits. Les résultats ont montré que cette substance multipliait par 100 les effets néfastes du soleil.
Le dioxyde de titane anatase a été trouvé dans la plupart des crèmes solaires de grandes marques et les Amis de la Terre demandent maintenant que les nanomatériaux présents dans les cosmétiques soient testés cliniquement et étiquetés.
Ce sera le cas à partir de juillet 2013 en Europe mais pas aux États-Unis ou en Australie. S’agissant de la Nouvelle Zélande, l’obligation d’étiquetage entrera en vigueur à partir de 2015.
L’ONG internationale Friends of the Earth demande l’interdiction du dioxyde de titane anatase dans les crèmes solaires et les produits cosmétiques.
La recherche a montré que cette substance potentiellement dangereuse réagit à la lumière du soleil et à l’eau en intensifiant la formation de radicaux libres et par conséquent en accélérant les effets néfastes du soleil, particulièrement lorsqu’elle est utilisée à l’échelle nanométrique.
Une étude a ainsi été menée en 2008, après des rapports selon lesquels des enduits de toit se décomposaient après un transfert de crème solaire par les ouvriers travaillant sur ces toits. Les résultats ont montré que cette substance multipliait par 100 les effets néfastes du soleil.
Le dioxyde de titane anatase a été trouvé dans la plupart des crèmes solaires de grandes marques et les Amis de la Terre demandent maintenant que les nanomatériaux présents dans les cosmétiques soient testés cliniquement et étiquetés.
Ce sera le cas à partir de juillet 2013 en Europe mais pas aux États-Unis ou en Australie. S’agissant de la Nouvelle Zélande, l’obligation d’étiquetage entrera en vigueur à partir de 2015.