Tendances cosmétiques & parfums 2025: vers une véritable global compliance en 2026

4/12/2025

En 2025, l’industrie des cosmétiques, parfums et produits d’ambiance a connu une accélération sur tous les fronts :
– Exigences réglementaires plus fortes,
– Montée en puissance de la dermo-cosmétique,
Skinification des produits capillaires,
– Stratégie de plus en plus orientée vers la conformité mondiale.

Pour les marques, l’enjeu n’est plus seulement d’être conforme en Europe, mais de penser dès le départ une global compliance intégrant au minimum l’UE, les États-Unis et le Canada, puis des zones comme l’ASEAN, le GCC ou encore Taïwan.

1. 2025 : la conformité cosmétique devient globale par conception

Les lancements se font désormais rarement sur un seul pays : un même produit est pensé dès le départ pour plusieurs régions, avec des contraintes différentes sur :

  • La classification (cosmétique, OTC, quasi-drug, etc.),
  • Les listes d’ingrédients autorisés / restreints,
  • L’étiquetage, les allégations, les preuves d’efficacité.

Le blog EcoMundo joue un rôle central de veille et de pédagogie, notamment via la catégorie cosmétique.

Tout au long de 2024–2025, il a informé nos clients et partenaires sur les nouvelles exigences, les substances sensibles, les dossiers réglementaires et les impacts des grandes révisions européennes.

2. UE / États-Unis / Canada : un socle stratégique… mais plus suffisant

Union européenne : simplification et vigilance

En Europe, 2025 a été marquée par la réflexion autour de la simplification de la réglementation cosmétique et chimique, avec un impact sur :

  • La gestion des ingrédients,
  • Certaines règles d’étiquetage,
  • Et la compétitivité des industriels.

Ces enjeux sont détaillés dans :

👉 Simplification de la Réglementation Européenne : ce que cela signifie pour l’avenir de la conformité cosmétique

En parallèle, les équipes réglementaires restent mobilisées sur la sécurité des ingrédients, la gestion des substances restreintes et des évolutions de l’annexe du Règlement 1223/2009, comme expliqué dans :

👉 Réglementation des ingrédients cosmétiques en Europe

États-Unis et Canada : structuration continue des exigences

Aux États-Unis, la mise en œuvre progressive du cadre issu du MoCRA renforce les obligations pour les acteurs du secteur cosmétique, notamment en matière de :

  • Enregistrement des installations auprès des autorités compétentes,
  • Suivi de la sécurité des produits, incluant la collecte et l’évaluation des données toxicologiques,
  • Structuration et gestion des données produits pour assurer la conformité et la traçabilité,
  • Désignation d’une Personne Responsable (Responsible Person) chargée de garantir la conformité réglementaire.

Aux Canada, la réglementation cosmétique continue des évolutions dans le sens de renforcement pour les fabricants et importateurs telles que parmi d’autres :

  • Adresse canadienne pour importateurs / fabricants
  • Depuis mars 2025, le CNF exige une adresse canadienne valide pour le fabricant ou l’importateur.
  • Les marques étrangères doivent désigner un représentant local (Canadian Agent).
  • Structuration et gestion des dossiers produits
  • Dossiers conformes aux exigences réglementaires canadiennes, incluant la traçabilité et les informations sur les allergènes.
  • Mise à jour de la Cosmetic Ingredient Hotlist
  • Certaines substances désormais restreintes ou interdites (ex. : Retinal restreint, esters d’acide thioglycolique interdits).
  • Veille réglementaire obligatoire pour anticiper les nouvelles restrictions.

Pour réussir, les équipes doivent désormais raisonner bloc UE / US / Canada dès la phase de conception, et non plus ajouter ces marchés a posteriori.

3. Global compliance : intégrer aussi l’ASEAN, le GCC et Taïwan

La réalité 2025–2026, c’est que la croissance passe aussi par des marchés longtemps considérés comme “secondaires”, mais désormais très structurés.

Taïwan : un marché pivot en Asie

Taïwan illustre bien cette évolution : longtemps perçu comme une porte d’entrée simple vers l’Asie, le pays impose désormais :

  • Une notification stricte,
  • La mise en place d’un DIP local (Dossier d’Information Produit) complet,
  • Et un calendrier étalé jusqu’en 2026 selon les catégories de produits.

Tous les points clés (DIP, étapes, planning, points de vigilance) sont détaillés dans :

👉 Taïwan 2025 – Conformité cosmétique : préparer son DIP pour rester sur le marché

Cette évolution s’appuie notamment sur la robustesse des évaluations de sécurité et la capacité des toxicologues à structurer un dossier conforme aux attentes de la TFDA.

ASEAN & GCC : montée en maturité

Les zones ASEAN et GCC (pays du Golfe) renforcent également leurs cadres, avec :

  • Des exigences d’enregistrement plus complètes,
  • Des contrôles accrus sur les ingrédients sensibles,
  • Et un rapprochement progressif des grands standards internationaux, tout en conservant des spécificités locales.

Dans une logique de global compliance, ces marchés ne sont plus “optionnels” : ils doivent être pris en compte très tôt dans la stratégie de formulation et d’étiquetage.

4. Dermo-cosmétiques : expertise scientifique et exigences accrues

La dermo-cosmétique confirme en 2025 sa place de catégorie moteur : produits à mi-chemin entre cosmétique classique et univers dermatologique, destinés à des peaux fragilisées, sensibles ou à problématiques.

On observe :

  • Une montée en gamme des promesses (barrière cutanée, microbiote, peaux sujettes à l’acné, rougeurs, etc.),
  • Des dossiers d’efficacité plus exigeants,
  • Et une vigilance accrue sur la sécurité et la cohérence des allégations.

Tous ces aspects sont abordés de manière détaillée dans :

👉 Tout savoir sur les dermocosmétiques : réglementation, sécurité et bonnes pratiques

Dans un contexte de globalisation, ces produits exigent une classification fine selon les pays (cosmétique, OTC, quasi-drug, etc.) et une parfaite maîtrise des frontières réglementaires.

5. Skinification du capillaire : sophistication & structuration des données

La skinification s’impose désormais comme un réflexe dans le soin capillaire : les protocoles et les actifs du skincare sont appliqués au cuir chevelu et aux longueurs, avec :

  • Sérums concentrés,
  • Actifs fonctionnels (niacinamide, acides doux, peptides, céramides…),
  • Focus sur le microbiome et la barrière cutanée du cuir chevelu.

Ces produits sont souvent lancés simultanément en Europe, en Amérique du Nord et en Asie. La conséquence directe : un besoin de structurer les données produit (formules, matières premières, tests, DIP, PIF, etc.) pour toutes les zones.

6. Parfums & produits d’ambiance : transparence, sécurité et multi-cadres

Les parfums (personnels) et produits d’ambiance (bougies, sprays, diffuseurs, parfums de linge…) restent au cœur des attentes consommateurs, avec plusieurs tendances fortes en 2025 :

  • Recherche de fragrances plus “propres” et plus transparentes,
  • Gestion fine des allergènes parfumants,
  • Alignement entre exigences cosmétiques, IFRA, et parfois CLP/GHS pour les produits considérés comme mélanges chimiques.

Les autorités et les distributeurs attendent une traçabilité complète des compositions, de la sécurité et des données d’étiquetage, notamment en cas d’extension multi-pays.

7. Outils digitaux & PLM : industrialiser la global compliance

Pour suivre le rythme de cette complexité, la digitalisation devient centrale.

Cosmetic Factory, le PLM d’EcoMundo, illustré dans :

👉 Cosmetic Factory : Meilleur Logiciel Technologique 2025

Et plus largement les réflexions sur la Beauty Tech 2025 :

👉 Beauty Tech en 2025 : tendances, innovation et transformation des marques

Montrent comment :

  • Centraliser les données ingrédients, formules, tests, DIP,
  • Automatiser une partie des contrôles réglementaires,
  • Simuler la conformité dans plusieurs zones dès la phase de développement.

8. 2026 : priorités pour les acteurs cosmétiques

Pour 2026, plusieurs axes se dégagent :

  1. Concevoir global
    Penser dès le brief produit à l’UE, aux États-Unis, au Canada, mais aussi aux zones comme Taïwan, l’ASEAN ou le GCC.
  1. Rationaliser les dossiers
    Harmoniser autant que possible les DIP, PIF et autres dossiers locaux, afin d’éviter les redondances et les versions divergentes.
  1. Renforcer la sécurité et la traçabilité
    S’appuyer sur les bonnes pratiques décrites dans les articles dédiés à la sécurité des produits et des ingrédients, et maintenir les DIP à jour.
  1. S’appuyer sur la veille réglementaire
    Suivre régulièrement les actualités et les évolutions.

Conclusion

L’année 2025 a confirmé une évolution majeure :

La conformité cosmétique n’est plus locale, ni même régionale, elle devient mondiale par conception.

Pour les parfums, produits d’ambiance, dermo-cosmétiques et produits capillaires issus de la skinification, réussir 2026 signifie :

  • Anticiper les grandes zones (UE, États-Unis, Canada),
  • Intégrer très tôt les marchés émergents mais exigeants (ASEAN, GCC, Taïwan),
  • Et s’appuyer sur des outils et des expertises capables de porter une véritable global compliance
Prêt à passer à une véritable global compliance pour vos cosmétiques, parfums et produits d’ambiance ? Les équipes d’EcoMundo vous accompagnent partout dans le monde : UE, États-Unis, Canada, Taïwan, ASEAN, GCC et bien plus encore.👉 Parlons de vos projets et de vos défis réglementaires : contactez-nous dès maintenant pour construire ensemble une stratégie de conformité robuste, évolutive et adaptée à vos marchés.

En 2025, l’industrie des cosmétiques, parfums et produits d’ambiance a connu une accélération sur tous les fronts :
– Exigences réglementaires plus fortes,
– Montée en puissance de la dermo-cosmétique,
Skinification des produits capillaires,
– Stratégie de plus en plus orientée vers la conformité mondiale.

Pour les marques, l’enjeu n’est plus seulement d’être conforme en Europe, mais de penser dès le départ une global compliance intégrant au minimum l’UE, les États-Unis et le Canada, puis des zones comme l’ASEAN, le GCC ou encore Taïwan.

1. 2025 : la conformité cosmétique devient globale par conception

Les lancements se font désormais rarement sur un seul pays : un même produit est pensé dès le départ pour plusieurs régions, avec des contraintes différentes sur :

  • La classification (cosmétique, OTC, quasi-drug, etc.),
  • Les listes d’ingrédients autorisés / restreints,
  • L’étiquetage, les allégations, les preuves d’efficacité.

Le blog EcoMundo joue un rôle central de veille et de pédagogie, notamment via la catégorie cosmétique.

Tout au long de 2024–2025, il a informé nos clients et partenaires sur les nouvelles exigences, les substances sensibles, les dossiers réglementaires et les impacts des grandes révisions européennes.

2. UE / États-Unis / Canada : un socle stratégique… mais plus suffisant

Union européenne : simplification et vigilance

En Europe, 2025 a été marquée par la réflexion autour de la simplification de la réglementation cosmétique et chimique, avec un impact sur :

  • La gestion des ingrédients,
  • Certaines règles d’étiquetage,
  • Et la compétitivité des industriels.

Ces enjeux sont détaillés dans :

👉 Simplification de la Réglementation Européenne : ce que cela signifie pour l’avenir de la conformité cosmétique

En parallèle, les équipes réglementaires restent mobilisées sur la sécurité des ingrédients, la gestion des substances restreintes et des évolutions de l’annexe du Règlement 1223/2009, comme expliqué dans :

👉 Réglementation des ingrédients cosmétiques en Europe

États-Unis et Canada : structuration continue des exigences

Aux États-Unis, la mise en œuvre progressive du cadre issu du MoCRA renforce les obligations pour les acteurs du secteur cosmétique, notamment en matière de :

  • Enregistrement des installations auprès des autorités compétentes,
  • Suivi de la sécurité des produits, incluant la collecte et l’évaluation des données toxicologiques,
  • Structuration et gestion des données produits pour assurer la conformité et la traçabilité,
  • Désignation d’une Personne Responsable (Responsible Person) chargée de garantir la conformité réglementaire.

Aux Canada, la réglementation cosmétique continue des évolutions dans le sens de renforcement pour les fabricants et importateurs telles que parmi d’autres :

  • Adresse canadienne pour importateurs / fabricants
  • Depuis mars 2025, le CNF exige une adresse canadienne valide pour le fabricant ou l’importateur.
  • Les marques étrangères doivent désigner un représentant local (Canadian Agent).
  • Structuration et gestion des dossiers produits
  • Dossiers conformes aux exigences réglementaires canadiennes, incluant la traçabilité et les informations sur les allergènes.
  • Mise à jour de la Cosmetic Ingredient Hotlist
  • Certaines substances désormais restreintes ou interdites (ex. : Retinal restreint, esters d’acide thioglycolique interdits).
  • Veille réglementaire obligatoire pour anticiper les nouvelles restrictions.

Pour réussir, les équipes doivent désormais raisonner bloc UE / US / Canada dès la phase de conception, et non plus ajouter ces marchés a posteriori.

3. Global compliance : intégrer aussi l’ASEAN, le GCC et Taïwan

La réalité 2025–2026, c’est que la croissance passe aussi par des marchés longtemps considérés comme “secondaires”, mais désormais très structurés.

Taïwan : un marché pivot en Asie

Taïwan illustre bien cette évolution : longtemps perçu comme une porte d’entrée simple vers l’Asie, le pays impose désormais :

  • Une notification stricte,
  • La mise en place d’un DIP local (Dossier d’Information Produit) complet,
  • Et un calendrier étalé jusqu’en 2026 selon les catégories de produits.

Tous les points clés (DIP, étapes, planning, points de vigilance) sont détaillés dans :

👉 Taïwan 2025 – Conformité cosmétique : préparer son DIP pour rester sur le marché

Cette évolution s’appuie notamment sur la robustesse des évaluations de sécurité et la capacité des toxicologues à structurer un dossier conforme aux attentes de la TFDA.

ASEAN & GCC : montée en maturité

Les zones ASEAN et GCC (pays du Golfe) renforcent également leurs cadres, avec :

  • Des exigences d’enregistrement plus complètes,
  • Des contrôles accrus sur les ingrédients sensibles,
  • Et un rapprochement progressif des grands standards internationaux, tout en conservant des spécificités locales.

Dans une logique de global compliance, ces marchés ne sont plus “optionnels” : ils doivent être pris en compte très tôt dans la stratégie de formulation et d’étiquetage.

4. Dermo-cosmétiques : expertise scientifique et exigences accrues

La dermo-cosmétique confirme en 2025 sa place de catégorie moteur : produits à mi-chemin entre cosmétique classique et univers dermatologique, destinés à des peaux fragilisées, sensibles ou à problématiques.

On observe :

  • Une montée en gamme des promesses (barrière cutanée, microbiote, peaux sujettes à l’acné, rougeurs, etc.),
  • Des dossiers d’efficacité plus exigeants,
  • Et une vigilance accrue sur la sécurité et la cohérence des allégations.

Tous ces aspects sont abordés de manière détaillée dans :

👉 Tout savoir sur les dermocosmétiques : réglementation, sécurité et bonnes pratiques

Dans un contexte de globalisation, ces produits exigent une classification fine selon les pays (cosmétique, OTC, quasi-drug, etc.) et une parfaite maîtrise des frontières réglementaires.

5. Skinification du capillaire : sophistication & structuration des données

La skinification s’impose désormais comme un réflexe dans le soin capillaire : les protocoles et les actifs du skincare sont appliqués au cuir chevelu et aux longueurs, avec :

  • Sérums concentrés,
  • Actifs fonctionnels (niacinamide, acides doux, peptides, céramides…),
  • Focus sur le microbiome et la barrière cutanée du cuir chevelu.

Ces produits sont souvent lancés simultanément en Europe, en Amérique du Nord et en Asie. La conséquence directe : un besoin de structurer les données produit (formules, matières premières, tests, DIP, PIF, etc.) pour toutes les zones.

6. Parfums & produits d’ambiance : transparence, sécurité et multi-cadres

Les parfums (personnels) et produits d’ambiance (bougies, sprays, diffuseurs, parfums de linge…) restent au cœur des attentes consommateurs, avec plusieurs tendances fortes en 2025 :

  • Recherche de fragrances plus “propres” et plus transparentes,
  • Gestion fine des allergènes parfumants,
  • Alignement entre exigences cosmétiques, IFRA, et parfois CLP/GHS pour les produits considérés comme mélanges chimiques.

Les autorités et les distributeurs attendent une traçabilité complète des compositions, de la sécurité et des données d’étiquetage, notamment en cas d’extension multi-pays.

7. Outils digitaux & PLM : industrialiser la global compliance

Pour suivre le rythme de cette complexité, la digitalisation devient centrale.

Cosmetic Factory, le PLM d’EcoMundo, illustré dans :

👉 Cosmetic Factory : Meilleur Logiciel Technologique 2025

Et plus largement les réflexions sur la Beauty Tech 2025 :

👉 Beauty Tech en 2025 : tendances, innovation et transformation des marques

Montrent comment :

  • Centraliser les données ingrédients, formules, tests, DIP,
  • Automatiser une partie des contrôles réglementaires,
  • Simuler la conformité dans plusieurs zones dès la phase de développement.

8. 2026 : priorités pour les acteurs cosmétiques

Pour 2026, plusieurs axes se dégagent :

  1. Concevoir global
    Penser dès le brief produit à l’UE, aux États-Unis, au Canada, mais aussi aux zones comme Taïwan, l’ASEAN ou le GCC.
  1. Rationaliser les dossiers
    Harmoniser autant que possible les DIP, PIF et autres dossiers locaux, afin d’éviter les redondances et les versions divergentes.
  1. Renforcer la sécurité et la traçabilité
    S’appuyer sur les bonnes pratiques décrites dans les articles dédiés à la sécurité des produits et des ingrédients, et maintenir les DIP à jour.
  1. S’appuyer sur la veille réglementaire
    Suivre régulièrement les actualités et les évolutions.

Conclusion

L’année 2025 a confirmé une évolution majeure :

La conformité cosmétique n’est plus locale, ni même régionale, elle devient mondiale par conception.

Pour les parfums, produits d’ambiance, dermo-cosmétiques et produits capillaires issus de la skinification, réussir 2026 signifie :

  • Anticiper les grandes zones (UE, États-Unis, Canada),
  • Intégrer très tôt les marchés émergents mais exigeants (ASEAN, GCC, Taïwan),
  • Et s’appuyer sur des outils et des expertises capables de porter une véritable global compliance
Prêt à passer à une véritable global compliance pour vos cosmétiques, parfums et produits d’ambiance ? Les équipes d’EcoMundo vous accompagnent partout dans le monde : UE, États-Unis, Canada, Taïwan, ASEAN, GCC et bien plus encore.👉 Parlons de vos projets et de vos défis réglementaires : contactez-nous dès maintenant pour construire ensemble une stratégie de conformité robuste, évolutive et adaptée à vos marchés.