Assurez la conformité réglementaire de vos produits
Vérifiez la conformité de vos formules
Vérifiez et sécurisez vos documents réglementaires pour chaque zone.
Optimisez la gestion des risques sur site
Gérez efficacement vos Fiches de Données de Sécurité
Automatisez votre veille réglementaire
Assurez la traçabilité de vos substances
Pérennisez la bonne gestion des risques HSE
Découvrez comment la nouvelle proposition réglementaire de l'UE simplifie les réglementations cosmétiques et chimiques, affectant l'approbation des ingrédients, l'étiquetage et la compétitivité industrielle.
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Le chevauchement des réglementations est devenu une source de confusion pour les entreprises. Le Règlement sur les Produits Biocides (RPB) et le Règlement N° 1935/2004 concernant les matériaux et objets destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires présentent ainsi des ambiguïtés qui rendent impérative leur modification.
Suite aux études faites par la France et les Pays-Bas sur les effets du formaldéhyde, le Ministère De l’Environnement, de l’Energie et de la Mer (MEEM) a mandaté l’ANSES pour analyser les différentes options de gestion de risque du formaldéhyde. Ce projet de RMOA (Risk Management Option Analysis) est sujet à une consultation publique jusqu’à fin septembre.
La consultation publique de l’ECHA faisant suite à la proposition de classification du dioxyde de titane en carcinogène 1B a reçu de nombreux commentaires des acteurs économiques concernés par cette mesure. Beaucoup d’entre eux se sont montrés inquiets face à cette proposition et réfutent les conclusions tirées par l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail).
Une récente étude danoise portant sur un emballage de pizza recyclé a démontré que la toxicité de cet emballage ne s'explique qu'à seulement 3% par des substances toxiques déjà connues. Cette étude pourrait avoir des conséquences sur l’industrie du papier et de l’encre, ainsi que sur les législations européennes, dans la mesure où elle montre à quel point il nous reste à apprendre sur les substances toxiques contenues dans les matériaux en contact avec les aliments.
Afin de pouvoir enregistrer leurs substances chimiques sous REACH d’ici 2018, les industriels doivent fournir de nombreuses données sur le risque chimique. Afin de leur éviter de recourir aux tests sur les animaux, l’ONG Cruelty Free International (CFI) et le consultant TSGE ont publié un guide pratique qui fait l’état des lieux des stratégies alternatives.
La Commission Européenne a publié ce mercredi 15 juin, une proposition de définition des perturbateurs endocriniens.