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Assurez la traçabilité de vos substances
Pérennisez la bonne gestion des risques HSE
La Commission européenne évalue le Règlement Cosmétique de l’UE à travers un Fitness Check pour garantir sa pertinence face aux défis de durabilité, de digitalisation et de sécurité. Voici ce que les marques doivent savoir.
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Face au Règlement européen (EC) n° 1223/2009 la Corée du Sud elle aussi adopte une loi avec l’intention d’interdire les tests cosmétiques sur les animaux.
Le Comité Scientifique Européen pour la Sécurité des Consommateurs (CSSC) a annoncé ce mois-ci le lancement d’une consultation, jusqu’au 8 janvier 2016, sur la révision de son Document d’orientation pour les tests réalisés sur des composants cosmétiques et de leur innocuité. Destinée aux autorités publiques et à l’industrie cosmétique, la consultation a pour objet « d’accentuer l’harmonisation de la conformité » avec la réglementation cosmétique de l’Union Européenne.
Le Règlement du 30 novembre 2009 relatif aux produits cosmétiques vise à assurer la protection de la santé et l’information des consommateurs en veillant à la composition et à l'étiquetage des produits. D’ici un an, il entrera en vigueur et remplacera définitivement la directive existante, en vigueur depuis 1976. Mais il est important de noter que certaines de ses dispositions sont d’ores et déjà obligatoires. Même si le règlement s’inscrit dans la continuité de la directive, il apporte quelques contraintes supplémentaires. Voici, en résumé, les points à retenir.
Le Règlement sur les produits cosmétiques (1223/2009 CE), remplaçant la Directive sur les produits cosmétiques (76/78/CEE), sera en place en juillet 2013.
La recherche a montré que cette substance potentiellement dangereuse réagit à la lumière du soleil et à l’eau en intensifiant la formation de radicaux libres et par conséquent en accélérant les effets néfastes du soleil, particulièrement lorsqu’elle est utilisée à l’échelle nanométrique. Une étude a ainsi été menée en 2008, après des rapports selon lesquels des enduits de toit se décomposaient après un transfert de crème solaire par les ouvriers travaillant sur ces toits. Les résultats ont montré que cette substance multipliait par 100 les effets néfastes du soleil.
L'organe gouvernemental australien en charge de la réglementation chimique, le NICNAS, a émis une recommandation d'interdiction concernant l'utilisation du phtalate DMEP dans les produits cosmétiques.